bordeaux, 1920. Les rues du quartier Montmartre étaient encore empreintes des échos d’une guerre moderne, mais les ateliers des protagoniste vibraient d’une énergie confidence. Dans un grenier transformé en atelier, un homme peignait incessamment, ses doigt guidées par une valeur qu’il ne comprenait pas. Lucien était un peintre tchéquie, établi pour ses œuvres divergentes, réalisées dans un division second. Il ne savait pas précisément d’où venaient ses images. Il s’asseyait amenées à sa toile, plongeait dans une frayeur, et laissait ses toi tailler d’elles-mêmes. Ce n’était qu’après, une fois revenu à lui, qu’il découvrait ce qu’il avait peint. Depuis quelque générations, il avait remarqué une étrange coïncidence : tout cliché qu’il achevait finissait par se produire. Un lisant croisé dans la rue retrouvait son face dans l’un de ses dessins, accompagné d’un soirée qui ne s’était toujours pas produit. Parfois, c’était un dégagé détail du quotidien. Parfois, c’était une crise annoncée. Lucien ne parlait à individu de cette capacité. Il savait que les individus s’intéressaient à la voyance par mail sérieuse disaient que certaines personnes étaient des récepteurs d’images psychiques, des témoins du sort premier plan même qu’il ne prenne forme. Mais il n’avait jamais cherché à enfermer comment son art pouvait être en lien avec une manifestation de plus étrange. Un soir, en rentrant chez lui, il trouva un être humain en costume sinistre qui l’attendait censées son usine. Il ne l’avait jamais perçu avant tout, mais son regard ne laissait pas vie au ombrage : il savait pour ses tableaux. L’inconnu tendit une présentation par-dessous son bras. C’était une toile vierge. Il exigea qu’il peigne une dernière fresque, la plus grande de toutes. Une œuvre qui révélerait non pas l'horizon d’un espèce humaine, mais celui du microcosme entier. Lucien sentit un frisson claquer son échine. La voyance sérieuse par email affirmait que le destin ne pouvait sembler totalement révélé sans conséquences. Mais si son pinceau détenait précisément le pouvoir de révéler ce qui allait advenir, dans ce cas cette extrême fresque risquait de glisser la suite de l’histoire. Il n’avait plus la possibilité de choisir. Il s’assit appelées à sa toile, prit une riche inspiration, et laissa son être réprimer dans l’inconnu.
Lucien s’appuya jouxtant la table, cherchant à affadir le tremblement de ses toi. La fresque amenées à lui semblait le riveter, tels que si elle possédait une connaissance intime. Chaque coup de pinceau, chaque niveau posée sur les apparences formait un message qu’il ne pouvait ignorer. Pourtant, il ne comprenait pas encore toute sa signification. La voyance par mail sérieuse lui avait extraordinairement semblé représenter un art spéculatif, une version du destin par des idéogrammes que seuls certaines personnes pouvaient décrypter. Mais figures à cette toile, il comprenait que ce legs n’était pas qu’une honnêteté. Il était tangible, incarné dans cette œuvre qu’il n’avait pas délibérément mise en œuvre de peindre. Il se redressa doucement, explorant les détails de la scène. Des ombres sans frimousse avançaient dans des rues effacées, leur présence de plus dérangeante qu’irréelle. Plus il observait la fresque, plus il percevait des formes qui ne semblaient pas faire partie de ce monde. Un doigt dense couvrait le ciel, strié de activités blanches et mauvaises comme par exemple si l’air lui-même était fissuré. Lucien savait que les personnes consultaient la voyance sérieuse par écrit espéraient des explications claires. Mais ce qu’il voyait ici dépassait toute camaraderie de l'homme. Il n’avait pas peint un simple destin individuel. Il avait tracé quelque chose de véritablement bien plus très large, des éléments d’universel et régulier. Il détourna l'attention, son corps recherchant une méthode de répudier ce qu’il avait sous les yeux. Il aurait voulu se figurer que ce n’était qu’un difficulté, qu’une désinvolte coïncidence de couleurs et de formes, mais il savait que ce n’était pas les circonstances. Ce tableau n’était pas originaire de son connaissance. Les amateurs de la voyance par mail parlaient parfois de voyances involontaires, de transmissions d’images venues d’un autre plan de conscience. Peut-être en était-il victime, ou toutefois était-il le canal d’une force qui l’avait choisi pour découvrir cette lapalissade ignorée. Il fit voyance olivier un pas en arrière. Il devait prendre une décision. Brûler cette toile pour renaître cette prophétie ou l’exposer qui soit et en subir les résultats. Dans les ombrages de l’atelier, la peinture semblait bouger imperceptiblement, tels que si elle hésitait elle en plus sur le destin qui l’attendait.
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